thyroidite et maladie de lyme: affection auto-immune
Hypothyroidism with concurrent Lyme disease.
Source
Lyme Disease Center for South Jersey, Absecon 08201, USA.
Abstract
Lyme disease can be seen as localized, disseminated, acute, or chronic and can mimic other, more serious diseases. Even though it is a multisystemic illness, very few spirochetes are present; yet, once established in the host, it can persist for years. The antibody response is slow and variable, and the spirochete is difficult to isolate from clinical specimens, even those obtained from the pathognomonic skin lesion. These variables, together with nonspecific symptoms, make the diagnosis of Lyme disease difficult. The author describes an unusual case of Lyme disease superimposed on severe primary hypothyroidism in which the thyroid disorder was so advanced and pronounced that the diagnosis of Borrelia infection could easily have been missed.
Thyroidites auto-immunes.
1-rappels sémiologiques
2-modalités diagnostiques
3-recherche étiologique
4-applications thérapeutiques.
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C'est une maladie fréquente qui touche surtout les femmes. Ce nom bizarre (Hashimoto) est celui du médecin qui en a fait la description la première fois au début du vingtième siècle. C'est une maladie bénigne et facile à soigner. Votre médecin vous a peut-être fait doser les anticorps anti-TPO, qui sont trop élevés : c'est la signature de cette maladie de Hashimoto. Génétiquement influencé, votre organisme fabrique anormalement ces anticorps qui pourront ralentir le fonctionnement de votre thyroïde. Ils n'ont rien à voir avec les anticorps des maladies infectieuses, il s'agit d'auto-anticorps, c'est à dire d'anticorps dirigés contre vous, en l'occurence contre votre thyroïde, d'où le nom de maladie "auto-immune". Il est inutile de doser régulièrement le taux de ces anticorps.
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La thyroïde est augmentée de volume. Ce goitre est indolore. L'échographie peut montrer un aspect très hétérogène du tissu thyroïdien avec parfois des micro-nodules ou des pseudo-nodules (des plages hétérogènes). Ceci n'est pas un caractère de gravité. Les anticorps anti TPO sont élevés. Parfois, vous ne ressentez aucun symptôme d'hypothyroïdie, et d'ailleurs, si l'on dosait vos hormones thyroïdiennes, elles seraient normales, ainsi que votre TSH. C'est votre goitre et les anticorps qui permettent de faire le diagnostic de maladie de Hashimoto. Mais l'évolution se fera très souvent vers l'hypothyroïdie. C'est pourquoi on la dépistera régulièrement par des dosages de TSH, tous les 6 à 12 mois. Mais il n'est pas rare de vous découvrir cette maladie lors du bilan d'une hypothyroïdie (voir le chapitre Hypothyroïdie) Il est beaucoup plus rare que cette maladie se manifeste, au début de son évolution, par une hyperthyroïdie. C'est alors en faisant les examens pour comprendre la cause de votre hyperthyroïdie que l'on aura la surprise de trouver la maladie de Hashimoto. |
Lyme chronic et maladie d'hashimoto(thyroidite auto-immune.)
The Lyme-Thyroid Connection by Dr. Nikolas R. Hedberg
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Dr Marc Michael Bransten
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sur R.D.V.
Actualités
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19 mai 2012
International Meeting for Autism Research
On l'appelle hormone de l'amour, du bien-être ou parfois de la confiance. Et les résultats préliminaires de cette étude à grande
échelle menée par la Yale School of Medicine montrent que cette hormone, l’ocytocine, une substance produite naturellement dans le cerveau et dans tout le corps, contribue
à améliorer la fonction cérébrale dans les régions clés qui traitent la communication sociale chez les enfants et les adolescents, atteints de troubles du spectre autistique (TSA). Ces
conclusions présentées le 19 mai à l’International Meeting for Autism Research ouvrent un espoir de nouveau traitement, en combinaison avec d'autres thérapies, pour les enfants atteints.
Le Pr Kevin Pelphrey, professeur agrégé de psychiatrie pédiatrique et l’étudiant postdoctoral Ilanit Gordon résument leur conclusion:
«L’administration d’ocytocine en combinaison avec d’autres interventions cliniques peut aboutir à un traitement plus efficace des déficits de la communication sociale typiques de
l'autisme ». Alors que ces déficits de communication sont un des principaux symptômes de l’autisme, il y a peu de traitements efficaces et aucun qui ne cible directement ce
dysfonctionnement social de base.
L'ocytocine avait déjà retenu l’attention de chercheurs pour sa capacité à réguler de nombreux aspects du comportement et de la cognition sociale chez les humains, mais, afin d’évaluer précisément son impact sur la fonction cérébrale, Gordon et son équipe ont mené cette étude en double aveugle, contrôlée versus placebo auprès d’enfants et d’adolescents âgés de 7 à 18 ans atteints de TSA.
Les jeunes participants ont reçu une dose unique d’ocytocine par vaporisation nasale puis l’effet du médicament dans le cerveau a été suivi par IRM. Les chercheurs constatent que l'ocytocine parvient à augmenter l’activation des régions cérébrales connues pour traiter l'information sociale. Les chercheurs précisent que ces activations cérébrales étaient liées à différentes tâches impliquant divers modes de traitement de l'information, comme par la vision, l’écoute, et la compréhension de personnes extérieures.
Source: Yale University via Eurekalert (AAAS) International
Meeting for Autism Research
Oxytocin improves brain function in children with
autism